Parce qu’il faut bien dire au revoir…

Et voilà l’aventure touche à sa fin, je viens de terminer ma dernière journée de boulot et lundi je serais à Paris. Ça me fait vraiment bizarre de rentrer, je me demande comment je vais vivre “La France” après une telle expérience, certainement avec un autre regard…

En tous cas ce n’est pas sans un petit pincement au coeur que je quitte Silverline et ce pays. Tellement de choses s’y sont passées, tellement de gens y ont été rencontrés.

L’inde se sont des paysages magnifiques, une profonde culture dont je crois que jamais on ne pourra comprendre toutes les facettes, mais c’est surtout un milliard d’habitants parmi lesquels des gens géniaux qui m’auront marqué et que je remercie pour leur accueil et tous les moments partagés.
Si je suis arrivée ici sans connaitre la moindre personne j’en repartirais pleine de souvenirs, de rencontres et de nouveaux amis.

GRAND MERCI à toute l’équipe de Silverline, je pense qu’il sera difficile de retrouver des collègues toujours de bonne humeur, toujours prêt à rendre service avec qui il sera aussi plaisant de travailler.

Merci à mes collocs, passés plus ou moins longtemps au J-42, ce fut un plaisir de partager la chaleur de cet appartement, au propre comme au figuré, et tant d’autres choses…

Merci également à tous les autres potes, indiens, étrangers, français, que j’ai croisé pendant mes six mois de folie.

J’ai beaucoup appris durant ce voyage, sur les autres et moi même.
Si je dois retenir une leçon de ce voyage, de ce pays, c’est que, quelque soient les difficulté que l’on peut rencontrer ça fini toujours par s’arranger d’une façon ou d’une autre alors pas de quoi stresser!

A tous les gens qui hésitent à partir travailler à l’étranger seul, je dis foncer, vivez vos rêves, voyager sans vous poser de question.
Si j’ai survécu à mon aventure indienne sans aucun mais vraiment aucun problème (mis à part les gastro de fou à répétition) je pense que quiconque est capable de survivre à n’importe quel voyage. Le tout est d’avoir l’esprit ouvert et de lâcher prise sur ses habitudes.

Comme disait un pote “L’Inde il ne faut pas essayer de la contrôler, c’est elle qui te contrôle”
J’en ai encore eu la preuve hier lors de ma “farewell party” au bureau!
Un très violent orage de mousson et venu pimenter la fête, une grosse coupure de courant nous ayant plongé dans le noir total pendant plusieurs heures, enfin au début les néons faisaient stroboscopes. Au moins je m’en souviendrai! Le courant est revenu juste pour me laisser le temps de découper le gâteau et de manger les traditionnels (à Silverline en tous cas) hamburgers végétariens d’adieu!

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